Verre à moitié vide, verre à moitié plein

L’Homme ne me voit pas et ne me parle pas. Je suis total paumée.
Je ne survis que grâce à ma couverture polaire et il reste encore un bon mois d’hiver.
Depuis que j’ai arrêté de fumer, j’ai tout le temps envie de sucré.
Je viens de rempiler pour 5 tomes énormes d’une série d’heroic fantasy, moi qui n’aime que les traductions courtes. C’est pas demain que je vais réussir à dévier vers le mainstream.
Cette année je ne pourrai prendre de vacances qu’une seule fois.

L’Homme et moi cohabitons paisiblement sans la moindre dispute. J’ai réussi à ne rien faire d’irréparable pour le moment.
L’hiver n’a pas été très froid ni très pluvieux, et dans un mois à peine c’est le printemps.
Depuis que j’ai arrêté de fumer, j’ai réussi à ne prendre que 300 grammes (!)
C’est pas demain que je me retrouve au chômage technique. Et ma série préférée, que l’éditeur voulait lâcher, a été maintenue pour cause de plébiscite des lecteurs.
Les prochaines vacances, c’est 3 semaines aux USA entre amis et ça devrait tuer des chats (non, Junior, pas au sens propre; c’est une virée en bagnole, pas la grippe aviaire).

Le bonheur, c’est une question de point de vue.

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5 réflexions sur “Verre à moitié vide, verre à moitié plein”

  1. « ça devrait tuer des chats » lol. Des réminiscences. J’avais oublié cette expression, et pourtant l’ai bien usée.
    « Le bonheur, c’est une question de point de vue. »
    Voire une question, tout court.

  2. Mon verre pour le moment est à moitié vide mais je sais pas comment le remplir jusqu’en haut. Aujourd’hui rien ne me donne le sourire ! c’est comme ça, ça arrive. Je vais peut être le vider, histoire de le re-remplir ensuite …

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