Bien qu’habitant au bord de la mer, dans une région où le reste de la France se rue en masse pendant l’été, je n’ai pas dû mettre les pieds à la plage plus d’une dizaine de fois ces vingt dernières années. Et encore – si je compte juste les fois où il faisait jour et où je me suis baignée, les doigts d’une seule main doivent me suffire.
D’abord, je nage comme un fer à repasser, et je panique dès que je ne vois plus le fond de l’eau. Et je n’ai même pas vu « Les dents de la mer »! Mon cauchemar perso, c’est des algues carnivores tueuses qui s’enroulent autour de mes chevilles pour m’attirer vers leur petite gueule remplie de grandes dents.
[On appréciera d’autant plus l’intensité de mon dévouement envers l’Homme: pour découvrir son univers sous-marin, j’avais passé mon brevet élémentaire de plongée au début de notre histoire. Quand le moniteur m’a expliqué qu’il allait falloir, par 5 mètres de fond, enlever le masque, respirer par le détendeur sans se noyer en aspirant de l’eau par le nez, puis remettre le masque et le vider de son eau, j’avais tellement la trouille que je me suis mise à pleurer. L’Homme s’est limite moqué de moi, le chacal. J’ai serré les dents, j’ai fait le truc et j’ai eu mon brevet. C’était il y a cinq ans et je lui en veux encore (à l’Homme, pas au brevet).]
Ensuite, comme nous l’avons vu dans les posts précédents, j’ai un teint de navet (ou de porcelaine si on veut être gentil), qui au bout de 5 minutes d’exposition au soleil vire à la tomate farcie boursouflée. A défaut de téléportation, j’ai inventé la métamorphose légumineuse…
Et puis je m’emmerde. La position allongée n’est pas du tout commode pour lire, et rester sans rien faire, je déteste.
Last but not least, la vue de toutes ces chairs plus ou moins appétissantes répandues sur le sable comme à l’étal d’une boucherie humaine, ça m’écoeure toujours pas mal. Honnêtement, je ne comprends pas pourquoi les gens aiment tellement s’entasser à quinze par mètre carré telles des sardines dans une boîte, se baigner dans de l’eau d’une propreté douteuse et risquer de choper des cancers de la peau. Encore une preuve, s’il en fallait, de l’irrémédiable stupidité du genre humain.
D’abord, je nage comme un fer à repasser, et je panique dès que je ne vois plus le fond de l’eau. Et je n’ai même pas vu « Les dents de la mer »! Mon cauchemar perso, c’est des algues carnivores tueuses qui s’enroulent autour de mes chevilles pour m’attirer vers leur petite gueule remplie de grandes dents.
[On appréciera d’autant plus l’intensité de mon dévouement envers l’Homme: pour découvrir son univers sous-marin, j’avais passé mon brevet élémentaire de plongée au début de notre histoire. Quand le moniteur m’a expliqué qu’il allait falloir, par 5 mètres de fond, enlever le masque, respirer par le détendeur sans se noyer en aspirant de l’eau par le nez, puis remettre le masque et le vider de son eau, j’avais tellement la trouille que je me suis mise à pleurer. L’Homme s’est limite moqué de moi, le chacal. J’ai serré les dents, j’ai fait le truc et j’ai eu mon brevet. C’était il y a cinq ans et je lui en veux encore (à l’Homme, pas au brevet).]
Ensuite, comme nous l’avons vu dans les posts précédents, j’ai un teint de navet (ou de porcelaine si on veut être gentil), qui au bout de 5 minutes d’exposition au soleil vire à la tomate farcie boursouflée. A défaut de téléportation, j’ai inventé la métamorphose légumineuse…
Et puis je m’emmerde. La position allongée n’est pas du tout commode pour lire, et rester sans rien faire, je déteste.
Last but not least, la vue de toutes ces chairs plus ou moins appétissantes répandues sur le sable comme à l’étal d’une boucherie humaine, ça m’écoeure toujours pas mal. Honnêtement, je ne comprends pas pourquoi les gens aiment tellement s’entasser à quinze par mètre carré telles des sardines dans une boîte, se baigner dans de l’eau d’une propreté douteuse et risquer de choper des cancers de la peau. Encore une preuve, s’il en fallait, de l’irrémédiable stupidité du genre humain.
Comme dirait cette bonne Camille « Et mes posts, tu les aimes, mes posts ? »
non mais ça va, j’ai compris: vousêtes tous partis à la plage….