Y’a des jours où il ne faudrait pas se réveiller

La transition du sommeil à la veille s’est fait si progressivement que je ne m’en suis même pas rendu compte. Et que j’ai poursuivi mon rêve.

Après la folle nuit que je viens de passer avec Morten entre Paris, Londres et Oslo… [J’étais en train de me présenter à son père et à ses frères quand j’ai réalisé que j’avais émergé, mais pour le fun, j’ai continué la soirée dans ma tête jusqu’après le dîner et le départ des gêneurs familiaux… Ca s’est fini sur une peau de quelque chose devant la cheminée, tant qu’à faire. Ben oui, il fait pas chaud en Norvège.] Après ça, donc, faut pas s’étonner que je manifeste qu’un enthousiasme moyen à l’idée de passer la journée devant un ordi et les pérégrinations d’un lépreux.

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2 réflexions sur “Y’a des jours où il ne faudrait pas se réveiller”

  1. Je prends ton lépreux et je te passe mon casque téléphonique et mes clients qui m’engueulent parce qu’ils savent pas cliquer avec une souris…

  2. tu pouvais pas le proposer avant queje sois presque à la fin du bouquin? pfffffffffff

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