
Moi pendant le premier quart du roman: Mmmmh, c’est intrigant. J’aime bien la narration dédoublée « Passé: Emma » et « Présent: Jane », et surtout, j’adore l’idée de la maison qui transforme ses occupants petit à petit.
Moi pendant le deuxième quart du roman: Ca devient quand même un peu ennuyeux à force de parallélisme dans les trajectoires des deux héroïnes. J’ai du mal à les distinguer l’une de l’autre. Et puis on voit très bien vers quoi on se dirige. J’en ai ras-le-bol des mâles alphas sociopathes qui exercent une attirance irrésistible sur leur proie. Si ça continue comme ça, j’arrête avant la fin.
Moi pendant le troisième quart du roman: Putain c’est super malsain. J’aime bien le principe du narrateur non fiable, mais ce personnage-là est vraiment grave tordu. Du coup, la fin n’est probablement pas celle que j’imaginais depuis le début.
Moi pendant le dernier quart du roman: Oh. Je ne m’attendais pas à ça. …A ça non plus.
Psychologiquement, « La fille d’avant » n’est pas le roman le plus crédible du monde, mais j’avoue qu’il m’a tenue en haleine jusqu’à la fin.
Traduction de Jean Esch
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oui c'est un bon page turner …idéal pour la chaise longue 😉