
Cette fois, il s’agit d’une collection d’anecdotes tirées pour les deux tiers de la vie professionnelle de la narratrice avocate, et pour un tiers de situation où elle se retrouve elle-même en position de cliente – généralement dans des galeries d’art où elle ne se sent pas du tout à sa place, des restos branchés où elle ne se sent pas vraiment à sa place, et des boîtes de nuit où elle voudrait parfois que soit sa place. De temps en temps surgit un brouillon de lettre à son ex-psy qu’elle voudrait convaincre de recevoir son fils de vingt ans pour un problème de violence physique.
Autant dire que malgré le soi-disant thème directeur, l’ensemble est assez décousu. Les anecdotes professionnelles sont parfois intéressantes, mais le nous majestatif par lequel la narratrice s’y désigne m’a très vite paru horripilant. Les autres m’ont profondément ennuyée. Bref, une grosse déception, et un livre que je n’aurais même pas terminé s’il avait fait plus de 200 pages.
Sauf exception, les commentaires sont désactivés. Si vous voulez poursuivre la conversation, je vous invite à le faire sur la page Facebook du blog.
