
C’est le quatrième roman d’Audur Ava Olafsdottir publié en France par les éditions Zulma, et après avoir adoré les trois premiers, j’en attendais énormément. Trop, sans doute, car il m’a un peu déçue. Si l’on retrouve la délicatesse de style de l’auteure, la lenteur et l’introspectivité qui caractérisent ses récits, la grâce et la poésie qu’elle sait insuffler au quotidien, l’attention qu’elle porte à la nature et au rythme des saisons, je n’ai pas réussi à m’intéresser à la petite vie, aux premières amours pudiques et aux modestes aspirations d’Agustina. Du coup, j’ai l’impression d’être passée à côté de ce « Rouge vif de la rhubarbe« , qui ne m’aura guère marquée contrairement à ses prédécesseurs.
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