

A travers les aventures de Noa, créature synthétique à la plastique enviable, cette série de SF dystopique explore les thèmes du fanatisme religieux, de l’ultra-capitalisme et de la dictature des médias. Cinq ans se sont écoulés depuis la parution du T3, et j’avoue ne plus très bien me souvenir de l’histoire, mais j’y jetterai sans doute un coup d’oeil rien que pour la beauté des dessins.

Ca fait des années que je n’ai rien lu de Jean-Philippe Peyraud, dont la fausse légèreté et le trait épuré avaient enchanté mon début de vingtaine. Ici, il livre une « rafraîchissante comédie romantique et burlesque à la française qui mélange polar, amour, famille et remise en question ». Vais-je résister? C’est peu probable – à condition qu’il sorte dans un format autre que numérique.