– Le fromage de brebis, délicieux dès le matin et qui voyage très bien (mais se conserve peu pour cause de gourmandise aiguë de 100% des habitants de la maison)
– Les olives vertes (même remarque que ci-dessus)
– Les dattes, achetées dans le bazar égyptien et savourées au compte-gouttes
– Les abricots secs, qui font un très bon en-cas de milieu de matinée
– Les tomates séchées, parfaites pour mettre de la gaieté dans un plat de Barilla un soir de frigo vide
– Les böreks, feuilletés au fromage, aux épinards ou à la pomme de terre vendus une misère dans des échoppes (compter 1,5€ par personne pour l’équivalent d’un repas entier) (on n’a pas dit que ce serait un repas équilibré, hein)
– Le jus de pamplemousse, d’orange ou de grenade fraîchement pressé par des marchands installés à tous les coins de rue
– L’agneau grillé, commandé par moi à chacun des repas que nous avons fait dans des « vrais restos »
– Le yaourt nature local, un peu plus consistant que le nôtre et qui se passe très bien de sucre
…Sinon, à part la bouffe et notre hôtel dont je vous ai déjà parlé ici, ce que j’ai préféré niveau visites touristiques, c’était la citerne-basilique de Yerebatan Sarnici, un endroit vraiment original et spectaculaire (même si Chouchou s’est plaint qu’il y avait moins de touristes dans « Bons baisers de Russie »). Pour le reste, les mosquées étaient belles mais ne m’ont pas vraiment touchée; la croisière même écourtée sur le Bosphore m’a parue chiante à mourir; la vue du haut de la tour de Galata ne cassait pas trois pattes à un canard; les mosaïques du musée éponyme étaient en fort mauvais état bien qu’intéressantes; le Grand Bazaar m’a beaucoup moins plu que les souks de Marrakech; et mondialisation oblige, la partie moderne de la ville ressemblait furieusement à la rue Neuve un samedi après-midi.