Si j’étais une super-héroïne Marvel, la météo bruxelloise serait ma Némésis.
Qu’il pleuve ou qu’il fasse gris 360 jours par an, je pourrais encore m’en accommoder, fût-ce en râlant un maximum: après tout, j’ai subi un stage intensif de quatre ans à Nantes dans mes jeunes années. Que la température descende dans les deux chiffres négatifs en janvier, c’est déjà un peu plus rude, mais il reste la possibilité de se faire livrer à manger et de ne pas sortir de chez soi avant les soldes jusqu’au dégel.
Par contre, que les quatre saisons se succèdent dans la même journée, voire dans la même heure, au bout de trois ans, je ne parviens toujours pas à m’y faire.