Parce qu’il fallait bien que quelque chose vienne ternir le bonheur d’une semaine de vacances jusque là idyllique, Benazir Bhutto a été assassinée hier. Je ne suis pas une spécialiste de la politique pakistanaise, et j’ignore si les accusations de corruption qui ont par deux fois provoqué son éviction du poste de premier ministre étaient fondées ou non. Tout ce que je sais, c’est que cette femme courageuse se savait menacée de mort par des extrémistes, et qu’elle est quand même rentrée dans son pays pour tenter d’y instaurer une démocratie stable. Les fossoyeurs de la paix et du progrès social en ont décidé autrement. C’est bien triste.
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