Encore un peu sonnée par mon week-end, je me suis remise au travail d’arrache-pied ce matin. Il me restait, à ce moment-là, très exactement 100 pages à traduire et un peu plus à relire avant jeudi soir. A combiner avec les préparatifs d’avant-départ: ma valise est pratiquement bouclée, mais il faudra songer à distribuer clés et instructions aux gardiens de chats, à faire le ménage avant de partir, à régler préventivement tous les problèmes administratifs qui pourraient surgir pendant les quatre semaines suivantes, voire à acheter des dollars qu’aucune banque de mon village ne veut me vendre. Et puis éventuellement à tester mon nouvel appareil photo. Bref la semaine va être bien remplie et je n’aurai pas volé mes vacances. Mes compagnons de voyage semblent également sur les rotules après une année de boulot épuisante. Mais, prédit Junior, « bizarrement, samedi matin, on pètera tous la forme! ». Et elle n’a sans doute pas tort 🙂