L’album qui tourne en boucle dans la chaîne du salon et le poste de la voiture, en ce moment, c’est le dernier Indochine. Je dois être en plein période revival-des-groupes-de-quand-j’étais-djeûn. N’empêche que j’ai été impressionnée par la qualité musicale et par la capacité de Nicola Sirkis à se renouveler après autant de temps. Bon, au niveau des textes, c’est toujours du Mylène Farmer au masculin avec des tournures de phrase encore plus abracadabrantes (Nicola partage d’ailleurs avec Mylène ce côté physiquement figé, « je n’ai pas bougé d’un poil depuis vingt ans », que je trouve à la limite du malsain, mais bon, ça doit être parce que je suis jalouse). Au niveau de la voix, c’est rien d’extraordinaire non plus… Pas grave, je suis fan.